![]() |
17, boulevard de strasbourg 75010 PARIS Tarifs Cinéma : 7 , 5,5 (réduit), 4 (-12ans) Rens., Rép : 01 48 00 04 35/08 92 68 75 03 Métro : Strasbourg Saint-Denis Parkings : Gare de l'Est/Bonne Nouvelle |
Seyyit Han
mercredi 29 septembre 18h30 / dimanche 3 octobre 22h30 / jeudi 7 octobre 20h00 / lundi 11 octobre 18h00 ![]() |
Umut
mer 29 septembre 20h00 / samedi 2 octobre 22h00 / jeudi 7 octobre 18h00 / samedi 9 octobre 20h15 ![]() Cabbar somnole dans son fiacre devant la gare d’Adana : aucun voyageur ne fait appel à ses services… Le grand espoir de Cabbar, c’est de gagner à la loterie. Comme il est analphabète, il demande aux autres de regarder pour lui s’il a gagné. Bien que les circonstances l’aient condamné à la misère, ce vain espoir la lui rend plus supportable. Cabbar remet se qu’il gagne à sa femme, ses revenus sont bien maigres pour subvenir aux besoins de sa famille et payer ses dettes… « Umut rappelle « Ladri di biciclette » (le voleur de bicyclette) et d’autres films réalistes dans sa première partie puis « The Treasure of Sierra Madre » (Le trésor de La Sierra Madre) dans la seconde. Mais au bout du compte, c’est un film turc original, ayant bien d’avantage de points en commun avec les films égyptiens et ceux d’autres pays arabes. Il est devenu un film moderne, un classique mineur, dirigé et interprété avec force de caractère… »( traduction d’un article de Variety, 2/08/04, 1978) |
Agit
jeudi 30 septembre 18h30 / lundi 4 octobre 20h15 / jeudi 7 octobre 22h00 / dimanche 10 octobre 20h00 ![]() |
Arkadaş
mer. 29 sept. 22h00 / samedi 2 oct. 20h00 / mardi 5 oct. 18h00 / dim. 10 oct. 18h00 / mardi 12 oct. 22h15 ![]() Les anciens compagnons boivent ensemble et l’architecte propose d’aller dans une maison close. Pendant que l’architecte couche avec une prostitué, l’ agronome écoute une femme lui raconter sa vie. Finalement, l’architecte invite l’agronome chez lui. Il apprend alors que sa femme a un amant. L’agronome se lie d’amitié avec la fille de l’architecte… |
Düşman
vendredi 1er octobre 22h00 / lundi 4 oct. 18h00 / mercredi 6 oct. 19h45 / dimanche 10 octobre 22h00 ![]() |
Sürü
jeudi 30 sept. 22h00 / dimanche 3 octobre 20h15 / vendredi 8 octobre 18h00 / lundi 11 octobre 19h45 ![]() Les moutons de Hamo doivent être transportés en train depuis l’est de la Turquie jusqu’à Ankara pour y être vendus. Hamo a besoin de tous ses fils pour accompagner le troupeau ; ils sont trois : Sivan, l’aîné, Abuzer, qui est épileptique et Silo, âgé de seize ans. Sivan accepte de faire le voyage à condition d’être payé 10 000 lires et de pouvoir emmener Berivan. Il a l’intention, une fois en ville, d’aller avec elle chez le médecin. Le père ne peut faire autrement que de donner son accord. Mais il refuse que celle-ci revoie sa famille, alors que sa mère et ses frères et sœurs sont venus à la gare. Il refuse également d’acquitter le tribu habituel au personnel du train, sous la forme de deux ou trois moutons. Pour se venger, les employés ne lui disent pas que les wagons destinés à ses moutons ont servi à transporter du DDT. De nombreux moutons meurent pendant le voyage . En outre, le train est attaqué par des bandits qui en dérobent encore quelques autres. Le troupeau arrive à Ankara très affaibli. Hamo ne veut pas payer intégralement son fils parce que les moutons ne sont tous arrivés à bon port. Berivan est si affaiblie que Sivan doit la porter sur son dos dans les rues d’Ankara. Dans certaines régions de la Turquie, seul l’époux a le droit de regarder sa femme ; c’est pour cette raison que Berivan, refuse malgré les supplications de Sirvan de se déshabiller devant le médecin .Le lendemain matin , elle meurt. Sivan retrouve son père et lui demande de l’argent pour pouvoir ramener le corps au village. Celui-ci refuse. Un négociant en bétail déclare que la mort d’une femme, ce n’est pas bien important. Pour Sivan, c’en est trop, il étrangle l’homme à défaut de ne pouvoir faire de même avec son père. Sirvan, seul et abandonné de tous, erre dans la grande ville. |
Yol
vend. 1er oct. 19h45 / dim. 3 oct. 18h00 / mercredi 6 oct. 22h00 / samedi 9 oct. 18h00 / mardi 12 oct. 18h00 ![]() Partant des milieux et rapports de cinq détenus permissionnaires « Yol » s’efforce de peindre la société actuelle Turque : l’oppression vécue par les gens du peuple en particulier celle que subit la nation kurde, la place de la femme, les retombées effroyables d’un morale patriarcale tout en tentant de passer à travers des mailles inévitables de la censure. La douleur, la haine, les remords et l’impuissance prennent corps dans le tourbillon de la vie. Parfois en profondeur, parfois dans leurs expressions les plus superflues La dignité conduit certes au refus de la résignation, incite à tenir tête, voire à résister ouvertement et nourrit les grandes révoltes futures. Toutefois, ces actes de bravoure, ces signes de fierté ne sont pas au premier plan ; ils sont relatés par touches discrètes. |
Endişe
jeudi 30 septembre 20h00 / lundi 4 octobre 22h00 / mercredi 6 octobre 18h00 / samedi 9 octobre 22h15 ![]() Cevher est la victime désignée de la Vendetta où son clan est impliqué. La loi du clan donne droit à la famille offensée de tuer le chef de famille du parti des offenseurs. Dans ce cas précis, c’est Cevher qui doit être supprimé. Les deux familles discutent de la possibilité de remplacer la dette du sang par une dette d’argent. Elles se mettent d’accord pour une somme de 15 000 lires. Mais Cevher n’a pas d’argent. Son seul espoir, c’est de travailler pour la cueillette du coton. Le propriétaire est prêt à lui avancer la somme mais il utilise comme intermédiaire un administrateur qui voudrait engager la fille de Cevher comme servante. Cevher refuse cette proposition qu’il trouve infâmante… |
Aç Kurtlar
vendredi 1 octobre 18h00 / mardi 5 octobre 22h00 / vendredi 8 octbore 20h15 / lundi 11 octobre 22h00 ![]() Güney raconte l’histoire de manière réaliste et en faisant une critique de la société. Ce film rompt avec la tradition de ses précédents films qui tenaient plus du film turc classique. Güney l’a tourné pendant son service miliaire dans l’est de l’Anatolie. La puissance lyrique du réalisateur ressort particulièrement dans les scène de paysages anatoliens enneigés. C’est aussi la vengeance qui occupe le premier plan dans ce film, mais comme dans tous les films de Güney, derrière cette vengeance se cache un honneur blessé, et pour les hommes de ces contrées, il est impossible de vivre sans avoir obtenu réparation. Le milieu paysan doit défendre ses valeurs qui sont encore intactes par rapport à celles en vigueur dans les grandes villes ; c’est précisément cette opposition de valeurs qui confère à tous les films de Güney ce côté utopique et combattant et permet une identification du spectateur même s’il est de culture occidentale. Ce qui peut encore être défendu dans les contrées paysannes du fin fond de l’Anatolie n’existe plus dans nos esprits que sous la forme de vagues réminiscences d’un passé révolu. |
Zavallılar
samedi 2 octobre 18h00 / mardi 5 octobre 20h00 / vendredi 8 octobre 22h00 / mardi 12 octobre 20h15 ![]() |