Avec AFP | 23 décembre 2007
Des avions de combat turcs ont pilonné, dimanche 23 décembre, des positions des séparatistes kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dans l'extrême nord-est de l'Irak, mais sans faire de morts ni de dégâts, a affirmé Jabbar Yawar, porte-parole des forces de sécurité kurdes (peshmergas) d'Irak. L'état-major turc n'avait pas confirmé cette information dimanche en début de soirée.
Par Christophe AYAD - lundi 22 mai 2006
Formé après cinq mois de tractations, le cabinet d'union nationale de Nouri Al-Maliki doit éviter à l'Irak une guerre civile déjà amorcée.
Le gouvernement de la dernière chance ou le dernier épisode de la descente aux enfers de l'Irak ? Après plus de cinq mois de négociations acharnées, le nouveau gouvernement irakien dirigé par Nouri al-Maliki a prêté serment samedi devant le Parlement au milieu des interruptions de séance, des vociférations et du départ de 17 députés sunnites mécontents.
Mardi 17 juillet 2007 | Alain Campiotti, Sivas
Les Turcs se rendent aux urnes dimanche pour tenter de résoudre une crise politique majeure. Au même moment, l'armée tonne contre les Kurdes qui ont repris les armes dans le sud-est. Reportage dans l'épicentre anatolien, à Sivas
Ebranlé par la mort de quinze soldats tués ces derniers jours par les séparatistes kurdes, le gouvernement turc a décidé, mardi 9 octobre, de brandir la menace d'une opération transfrontalière en Irak contre les bases du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Jeudi 18 octobre 2007 | propos recueillis par Isabelle Tallec
Le parlement turc a donné son aval, mercredi, à d'éventuelles incursions contre les Kurdes dans le Nord de l'Irak. Quelles raisons sous-tendent le choix de cette option militaire? Le point de vue de Kendal Nezan, président de l'Institut kurde de Paris, lui-même originaire de Turquie.
15 janvier 2008 | Cécile Hennion
Le "projet national" signé, dimanche 13 janvier, à Bagdad, par une alliance de 150 députés irakiens issus de douze partis de tous bords n'est pas "officiellement" dirigé contre le gouvernement autonome du Kurdistan. Mais personne ne s'y est trompé. En réclamant le règlement du statut de la ville stratégique de Kirkouk sur la base d'un consensus politique au sein du Parlement, et que la signature des accords pétroliers soit réservée au seul gouvernement de Bagdad, ce document vise les intérêts des Kurdes d'Irak.
4 octobre 2008
Les escarmouches sont fréquentes entre soldats turcs et rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Mais l'affrontement de vendredi, le plus violent depuis un an, a forcé le premier ministre turc Tayyip Erdogan à couper court à une visite officielle au Turkménistan pour superviser la riposte.