Pierre-Jean Luizard : Le troisième anniversaire de la guerre est particulièrement important, car il coïncide avec la dernière pierre mise à l'édifice institutionnel dans le cadre du processus patronné par les Américains pour la reconstruction d'un Etat irakien.
9 novembre 2007
Des incursions en Irak seraient inacceptables
Ankara - Le principal parti pro-kurde de Turquie s'est opposé avec force hier, lors d'un congrès à Ankara, à la politique «militariste» du gouvernement et à ses menaces d'opérations militaires transfrontalières contre les camps des rebelles kurdes dans le nord de l'Irak.
Le président irakien s’en est pris violemment aux pays arabes auxquels il reproche leur manque de solidarité envers l’Irak.
[RFI - 6 septembre 2005] Le président Talabani est en colère et il le fait savoir. Lundi, Jalal Talabani (qui est kurde) a vivement reproché aux États arabes leur indifférence à l’égard des victimes de la bousculade meurtrière du pont d’Al Aïmah qui s’est produite à Bagdad le 31 août, lors d’un pèlerinage chiite et qui avait fait un millier de victimes. En dehors du Koweït, qui a offert 10 millions de dollars aux victimes, les autres pays arabes n’ont rien proposé, ou des montants dérisoires.
9 mai 2007
09:30 Au moins 19 personnes ont été tuées et 70 blessées dans l'explosion mercredi matin d'un camion piégé devant le ministère de l'Intérieur à Erbil, au Kurdistan autonome (nord), une région habituellement épargnée par les violences, selon un nouveau bilan des autorités kurdes.
29 octobre 2008
La Turquie court droit à la catastrophe. Ce sera la deuxième fois en moins de dix ans, mais le gouvernement turc tient à gérer la crise tout seul. L'AKP, le parti au pouvoir, est las des interventions étrangères et se montre réticent à solliciter l'aide du Fonds monétaire international (FMI). Voilà qui ne va guère rassurer des investisseurs déjà nerveux.
Après l'attentat du 1er novembre, le pouvoir ne cible plus le PKK.
Istanbul de notre correspondant
Ragip DURAN - [lundi 14 novembre 2005]
es autorités d'Ankara semblent désormais décidées à en finir avec ces réseaux de «l'Etat profond», comme les appellent les Turcs, où se mêlent «barbouzes» et mafieux. Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a annoncé hier sa volonté de faire la lumière sur les attentats de Semdinli, bourgade limitrophe des frontières irakienne et iranienne, et à punir leurs auteurs présumés : «des officiels militaires qui veulent provoquer des incidents entre la nation et l'Etat».
LE CAIRE, 10 avr (AFP) - 9h49 - Le nouveau président de la République irakienne Jalal Talabani a déclaré qu'il ne lui revenait pas personnellement de gracier le dictateur irakien déchu Saddam Hussein si celui-ci est condamné à mort.