Info [AFP - 15 septembre 2005]

L

 'ancien président irakien Saddam Hussein pourrait être jugé pour l'opération Anfal, qui a coûté la vie en 1988 à des milliers de Kurdes, après son procès devant le Tribunal spécial irakien (TSI) pour des meurtres à Doujaïl, a-t-on appris jeudi de source proche du tribunal.


  

Image 15.10.04 | 14h16 (ANALYSE)

  

LONDRES, 28 juil 2005 (AFP) - 2h55 - Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré à un quotidien britannique que la "tolérance" de la Turquie avait ses "limites" concernant les camps du PKK dans le nord de l'Irak, laissant entendre que son pays pourrait intervenir si Washington ne rémédiait pas à la situation.

  

FRANSA, 02/12 2004 - Ez bawer dikim ko ji bo gelê kurd, biryara baştirîn ew e ko Yekîtiya Ewropayê tarîxekê ji bo destpêkirina gotûbêjên (mizakereyên) endametîyê dîyar bike. Nedana tarîxekê dê derîyê Yekîtîya Ewropayê li Tirkîyeyê bigire. Wê çaxê dê neteweperestîya tirkî gurrtir bibe, nermahîya siyasî ya du-sê salên dawîn, çend gavên ko ji bo demokratîzasyonê hatine avêtin rawestin, dînamîkên derve yên guherandinê biritimin. Ew ê xesara mezin bigihê kurdan û ne bi tenê kurdên Tirkîyeyê, lê yên Iraqê jî. Ji ber ko Tirkîyeyeke ko hesabê Ewropayê neke, dikare li dijî Kurdistana Iraqê bêtir êrîşkar û gefdar. Lê dayîna tarîxekê dê li Tirkiyê ji bo veguherînên siyasî, civakî û aborî derîyê hêvîyê veke. Ev pêvajo dê ji bo xebata siyasî ya gelê kurd jî bergehên nû veke, bi şertê ko kurd bikaribin bigihên hev, li ser daxwazîyan, bi alîkarîya hêzên demokratîk ên ewropî bixin rojeva pêvajoya endametîya Tirkîyeyê. Ev pêvajo dê ta endazeyeke giring rê li ber têkilbûna rejîma tirk ya nav karên Kurdistana Iraqê jî bigire.


  

ISTANBUL, 31 juil 2005 (AFP) - 14h47 - Les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ont revendiqué dimanche l'enlèvement, quatre jours plus tôt, d'un maire du sud-est de la Turquie et démenti sa libération dans un communiqué diffusé par l'agence de presse pro-kurde MHA.

  

ANKARA, 18 oct 2005 (AFP) - 18h40 - Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, a averti mardi que son pays est à bout et a lancé un nouvel appel aux Etats-Unis et à l'Irak afin qu'ils contrôlent les rebelles kurdes qui attaquent la Turquie à partir du nord de l'Irak.

  

Info
Delphine Minoui
10 avril 2006, (Rubrique International)

DE LA PETITE MAISON en torchis, il ne reste que quelques débris dispersés sur la terre battue. Dans la rue adjacente, le cliquetis d'une charrette tirée par un âne se perd dans le chant du muezzin. On est loin de l'agitation de Téhéran. Et pourtant Aradan, bourgade de 10 000 habitants, ne se trouve qu'à une centaine de kilomètres au sud-est de la capitale, à la lisière du désert. C'est ici qu'est né, il y a cinquante ans, le nouveau président iranien, dont les diatribes contre Israël, les discours menaçants sur le nucléaire et les attaques verbales à l'intention de «l'oppresseur mondial» (l'Occident) ne cessent d'agiter la scène internationale.


  

5 août 2007 | Avec l’une de nos correspondantes à Istanbul, Fatma Kizilboga

Après 16 ans d’absence du Parlement, les députés kurdes du DTP ont créé la surprise en allant serrer la main des nationalistes lors de la séance inaugurale du parlement, qui s’est déroulée dans le calme.


  

 
Article publié le 21 août 2006

Saddam Hussein et six de ses officiers supérieurs ont refusé de plaider coupable ou non coupable, lundi à Bagdad, où s’est ouvert le procès de leurs opérations dites al-Anfal (Butin de guerre d’après le titre de la huitième sourate du Coran),qui auraient provoqué en 1987 et 1988 la mort de plus de 100 000 Kurdes. L’ancien président irakien et ses collaborateurs sont accusés de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité, pour avoir utilisé des armes chimiques et avoir ordonné l’exécution massive de civils. Il s’agit du deuxième procès ouvert à l’encontre de Saddam Hussein et des principaux dirigeants de l’ancien régime irakien renversé en 2003 par l’intervention militaire américaine.  


  

Info Marie-Michèle Martinet [15 février 2006]
A Istanbul, les rues du quartier de Beyoglu étaient calmes vendredi dernier. L'attentat, survenu la veille dans un cybercafé de la ville, avait dissuadé une partie de la clientèle de revenir sur les lieux. Le bilan de l'explosion de jeudi soir est resté à un mort et quinze blessés, dont un enfant de 13 ans.