Elysee.fr
A l'issue de leur entretien, le président de la République, François Hollande, et le président du gouvernement régional du Kurdistan, Massoud BARZANI, se sont exprimés devant la presse.
Lefigaro.fr | Par Georges Malbrunot
INTERVIEW - Dans un entretien au Figaro, Massoud Barzani, le président de la région autonome du Kurdistan d'Irak, affirme que « le temps » de la création d'un État kurde « est venu » et souhaite que le divorce avec Bagdad se déroule « pacifiquement ».
Liberation.fr | Par Kendal Nezan (Président de l’Institut kurde de Paris)
Plus personne n'est dupe de la fraude massive organisée lors du référendum turc par le gouvernement en place. Y compris le très prudent Conseil de l’Europe, qui a décidé le 25 avril de placer la Turquie «sous surveillance».
Assembly.coe.int
L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a décidé aujourd’hui de rouvrir la procédure de suivi à l’égard de la Turquie jusqu’à ce que les « profondes préoccupations » concernant le respect des droits de l’homme, la démocratie et l’Etat de droit « soient traitées de manière satisfaisante ».
Le Conseil de Paris, sur proposition de l’Institut kurde a, lors de sa séance du 28 mars 2017, décidé à l’unanimité d’honorer la mémoire du grand cinéaste kurde Yilmaz GUNEY, lauréat de la Palme d’Or au festival de Cannes de 1982 avec son film YOL, en donnant son nom à un square parisien du 10ème , le « petit Kurdistan » de Paris.
L’inauguration du square aura lieu ultérieurement, une fois les travaux d’aménagement terminés.
Lemonde.fr | Par Kendal Nezan (Président de l’Institut kurde de Paris)
Dans une tribune au « Monde », le président de l’Institut kurde de Paris, Kendal Nezan, dénonce les multiples violations des droits de l’homme par le régime turc et la faiblesse de l’Europe, qui se « contente de fermer les yeux », soumise au « chantage » d’Erdogan.
Le président du gouvernement régional dit négocier avec Bagdad la gestion de Mossoul après la bataille contre l’organisation Etat islamique.
Propos recueillis par Ursula Gauthier
L'OBS | N°2723 | 16/01/2017
Le président turc rêvait que son pays retrouve sa place de bras armé et de leader du monde musulman sunnite. La défaite de ses alliés à Alep-Est, l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara et l’attentat du Nouvel An à Istanbul, revendiqué par Daech, montrent, selon le chercheur Hamit Bozarslan, l’impasse de sa stratégie.