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"Il faut mobiliser l'opinion publique dans les pays occidentaux pour obliger ces Etats à soutenir les Kurdes"
Kendal Nezan, président de l'Institut kurde de Paris, et Hiner Saleem, cinéaste kurde, étaient dimanche les invités d'"Elie sans interdit", venus souligner les paradoxes qui entourent le combat kurde pour l'indépendance.
Liberation.fr - Par Kendal Nezan, Président de l’Institut kurde de Paris
Le référendum du 25 septembre au Kurdistan irakien est un véritable miracle, dans une région en guerre et sous la menace de Daech. Que les pays voisins aient tout tenté pour le contrer n’a rien d’étonnant, dans le chaos environnant. Mais que les démocraties occidentales n’aient pas défendu cette démarche transparente et pacifique est incompréhensible.
Lefigaro.fr | Par Thierry Oberlé
Le président de l'Institut kurde de Paris souhaite que la France accompagne la marche du Kurdistan irakien vers l'indépendance.
«Les Kurdes sont les acteurs du futur Moyen-Orient que l'on espère démocratique et séculier face au régime des ayatollahs Iraniens et à la Turquie autocratique d'Erdogan.»
Lemonde.fr - Par Collectif
Dans une tribune au « Monde », un collectif d’intellectuels, parmi lesquels Salman Rushdie, Bernard Kouchner ou Adam Michnik, dénonce le blocus dont fait l’objet la région et appelle le Conseil de sécurité de l’ONU à se saisir du dossier, alors que le président Emmanuel Macron s’entretient le 5 octobre avec Haïdar Al-Abadi, le premier ministre de la République d’Irak.
Lefigaro.fr | Par Thierry Oberlé - Envoyé spécial à Erbil (Kurdistan irakien)
PORTRAIT - À 71 ans, il a fait voter son peuple en faveur de l'autodétermination, en défiant ses voisins et la communauté internationale. Une promesse qu'il avait faite à son père, le chef, avant lui, d'un clan œuvrant pour le nationalisme kurde dans les montagnes du nord de l'Irak.
Libération | Vendredi 29 Septembre 2017
Par : BERNARD-HENRI LEVY (Philosophe)
Le oui l’a emporté à 92 % au référendum sur l’indépendance du Kurdistan irakien qui s’est tenu ce lundi. Le lendemain, Bernard-Henri Lévy a rencontré le chef des peshmergas, apaisé et déterminé à négocier avec Bagdad. Le président kurde compte aussi sur la médiation d’Emmanuel Macron.