Au lendemain d'une journée particulièrement violente, le président irakien, Jalal Talabani, a affirmé que l'Irak sera en mesure d'assurer sa propre sécurité d'ici cinq mois.
Ils sont poursuivis pour un rapport sur les minorités commandé par l'Etat.
Par Marc SEMO - jeudi 16 février 2006 - Ankara envoyé spécial
Un peloton de policiers antiémeute avec casques et boucliers campe l'arme au pied au premier étage du palais de justice de la capitale turque, à côté de la petite salle où s'entassent défenseurs des droits de l'homme, diplomates occidentaux et représentants de l'Union européenne.
4 octobre 2008 | correspondante à Istanbul, Fatma Kizilboga
Quinze soldats turcs et vingt-trois rebelles kurdes ont été tués lors d'une attaque kurde vendredi contre un poste militaire proche de la frontière irakienne, dans le sud-est de la Turquie. Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé qu'à la suite de cette attaque il annulait une visite de deux jours prévue en Mongolie et regagnait rapidement Ankara depuis le Turkménistan où il se trouvait en visite officielle.
Une relance du processus de négociations au point mort depuis mi-mars vient d'être décidée par les 25 pays membres
- Le ministre de la santé irakien, Abdel Moutaleb Mohammed Ali, a annoncé, lundi 30 janvier, un premier décès dû au virus H5N1 de la grippe aviaire en Irak, lors d'une conférence de presse à Souleimaniyé, à 330 km au nord de Bagdad.
(RV- mardi 22 août 2006) Saddam Hussein et ses six co-accusés comparaissent depuis lundi devant le haut tribunal pénal irakien pour le massacre de dizaines de milliers de Kurdes perpétré dans le Nord de l’Irak en 1988, en pleine guerre Iran-Irak.
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