Télérama | Par Anne Berthod | Publié le 24/05/2020.
Résistance
Depuis trente-cinq ans, le collectif stambouliote remet les musiques traditionnelles d’Anatolie à la mode et s’est imposé comme une vraie force d’opposition aux gouvernements successifs. Emprisonnés par la police de Recep Tayyip Erdogan, deux de ses membres sont morts tout récemment à l’issue d’une grève de la faim.
Libération.fr | Par Jérémie Berlioux et Marie Tihon | 19 Mai 2020
Près d’Istanbul, le complexe de Silivri accueille les opposants au pouvoir, condamnés pour «terrorisme» après des audiences truquées. Souvent maintenus à l’isolement, les 23 000 prisonniers y purgent des détentions provisoires qui s’éternisent.
lemonde.fr | Par Hélène Sallon | le 07/05/2020
En pleine crise économique, l’Irak se dote d’un nouveau gouvernement
Le spectacle des arrangements politiques menés jusqu’à la dernière minute dans l’enceinte du Parlement tranche avec l’urgence de la crise provoquée par la chute des cours du pétrole et la pandémie de Covid-19, qui a fait près de 100 morts dans le pays.
Le Figaro avec AFP | 13 avril 2020
Le parlement turc a adopté lundi soir une loi approuvant la libération de dizaines de milliers de détenus pour tenter de désengorger un univers carcéral menacé par la pandémie de nouveau coronavirus. Des ONG de défense des droits de l'Homme, Human Rights Watch et Amnesty International, ont critiqué le texte, qui exclut de ces libérations les détenus condamnés en vertu de lois antiterroristes controversées. Elles ont aussi condamné l'exclusion de cette mesure de nombreux journalistes, opposants politiques et avocats qui se trouvent en détention provisoire et n'ont pas encore été jugés.
Le Monde | par Ghazal Golshiri | 10 avril 2020
Pour éviter l’effondrement de son économie, le président Rohani invite les habitants à reprendre le travail
lefigaro.fr | Par Minoui Delphine, envoyée spéciale à Hasankeyf | 26/02/2020
Dans le Sud-Est turc, la population à dominante kurde assiste, impuissante, à la construction d’un barrage qui va noyer un village vieux de 12 000 ans. Les autorités avancent des raisons économiques, mais les activistes y voient un geste politique d’Ankara contre la minorité kurde.