samedi 17 novembre 2007
Le Parti pour une société démocratique (DTP) est menacé d'interdiction par une procédure menée par la justice turque. Le parti est la principale formation pro-kurde du pays.
par Mounia Daoudi - Article publié le 26/01/2005
Si l’éclatement tant redouté de la mosaïque irakienne n’a pas eu lieu lors de la chute du régime de Saddam Hussein, les tensions entre les différentes communautés, qu’elles soient ethniques où religieuses, sont loin d’être apaisées. La ville pétrolière de Kirkouk, au nord du pays, est ainsi, depuis quelques mois, un foyer d’instabilités qui inquiètent particulièrement l’armée américaine en cette veille d’élections. Elle redoute en effet plus que tout des affrontements entre Kurdes, Arabes et Turcomans qui ne manqueraient pas de conduire à un embrasement du nord de l’Irak.
23 mars 2008 | Reuters
Un manifestant kurde a été tué par balle dans des affrontements avec la police turque dimanche à Yuksekova, dans le sud-est de la Turquie, au deuxième jour de violences en marge des célébrations du Nouvel An kurde, a-t-on appris de source hospitalière.
22 octobre 2007 | Istanbul, correspondance | Guillaume Perrier
La tension est encore montée d'un cran en Turquie, dimanche 21 octobre, au cours d'une journée qui restera comme l'une des plus meurtrières depuis 1984, date à laquelle les membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, séparatiste) avaient déclenché la lutte armée contre l'Etat turc. Au moins 44 personnes ont été tuées dans les montagnes de la région d'Hakkari, proche de la frontière irakienne.
24 mars 2008
Les violences ont repris de plus belle dans le sud-est de la Turquie, majoritairement kurde. Des heurts ont éclaté ce lundi entre la police anti-émeute et des manifestants pro-kurdes à Van et Yüksekova.
Rebonds - lundi 15 janvier 2007
Par Kendal NEZAN, président de l'Institut kurde de Paris
Le Parlement irakien issu des urnes est à l'image d'un pays plus que jamais morcelé selon ses clivages communautaires. Au vu des résultats officiels des législatives du 15 décembre, les Irakiens ont voté non pour des partis ou des programmes, mais en fonction de leurs appartenances ethniques ou confessionnelles.